Le cépage le plus répandu du Piémont, capable de s'adapter et de s'exprimer au mieux sur une variété de terroirs et de conditions également des conditions pédologiques et climatiques très différentes. Dans la région d'Alba, le raisin Barbera est vinifié pour l'obtenir depuis des temps immémoriaux un vin simple de tous les jours, à l'acidité marquée, idéal pour un repas complet ou un verre en bonne compagnie.
Dégustation: Dans la version classique proposée par la cave Morra, Barbera d'Alba se présente sous sa forme traditionnelle rouge-violet impénétrable, il donne des arômes épicés de framboise et de mûre et offre une gorgée douce et immédiatement agréable.
Cépage : Barbera.
Vinification : égrappage doux, macération et fermentation en cuve en acier inoxydable à température contrôlée.
Raffinement: 12 mois en grands fûts de bois et 6 mois en bouteille.
Température de service : 17-18°C.
Cépage : Nebbiolo.
Vinification : égrappage doux, macération courte et fermentation en cuve acier inoxydable à température contrôlée.
Maturité: 8 mois en acier et 4 mois en bouteille.
La température de service: 16-17°C.
Robe Belle robe jaune claire aux fins reflets argentés.
Nez Le nez est très complexe, riche de belles notes de fruits exotiques comme le litchi et le fruit de la passion, mais surtout de rose, qui ressort de plus en plus au fur et à mesure de l'aération.
Palais La bouche est longue et ample. L'acidité est fine et délicate et bien rafraichissante. C'est un vin demi sec mais sans aucune lourdeur. On retrouve les fins arômes du nez, avec une dominante pour les fruits exotiques et notamment le litchi.
L'histoire du vin Le Gewurztraminer constitue une sélection particulièrement aromatique d’un vieux cépage connu de tout temps en Alsace, le Traminer rose. On le désignait autrefois, alors que son vin était un peu moins puissant, sous le nom de Traminer. Etymologiquement la dénomination Gewurztraminer signifie littéralement Traminer épicé.
Le terroir Gardant à l'esprit qu'il faut des vins pour toutes les occasions, notre œnologue a choisi de vinifier la gamme “Réserve” sur le fruit. Il recherche la meilleure expression de chacun des cépages alsaciens à travers des vins frais et gourmands.
Robe jaune pâle limpide avec de fins reflets argentés.
Nez Le nez est franc, complexe et élégant avec de fines notes de fleurs blanches et de pêche.
Palais Bouche nette et franche, bien typée. On retrouve de belles notes de fruits à chair blanche et une pointe de fumé typique.
Accord mets/vins: Il s'accorde parfaitement à l'apéritif.
Robe : Belle robe jaune pâle aux fins reflets argentés.
Nez : Nez franc, complexe et frais. On y décèle des notes de citron vert, de poire et de pamplemousse. Il s'ouvre rapidement au fur et à mesure de son aération.
Palais : L'attaque est ample et soyeuse, avec une très belle fraicheur. L'équilibre suce acide est très agréable et donne beaucoup d'élégance à ce vin. Un riesling tout en dentelle, à la finale longue et enveloppante, dominée par les agrumes.
Accord mets / vin : Fruits de mer, poissons, cuisine alsacienne, viandes blanches, choucroute
L'histoire du vin
C’est le cépage rhénan par excellence ! Chacun s’accorde à reconnaître que la vallée du Rhin est son berceau. Pour certains, il s’agirait de l’Argitis minor des romains et sa culture remonterait à l’occupation romaine. D’après Stoltz, le Riesling fut introduit au IXe siècle dans les vignobles du Rheinghau. En 843, au lendemain du partage de l’empire de Charlemagne, Louis II le Germain fit planter du gentil aromatique le long du Rhin. Ce cépage prit bientôt le nom de Riesling, nom qui vient de riesen (couler en allemand) car avant qu’il ne se soit acclimaté à l’Alsace, il était sensible à la coulure (lors de conditions climatiques défavorables, comme des pluies au moment de la floraison, la fleur tombe par terre. Il n’y a donc pas de production de raisins). Différent de son cousin allemand, le Riesling alsacien a été implanté dans notre région dès la fin du XVe siècle. Il est couramment cité le siècle suivant mais sa culture ne se développe que dans la seconde moitié du XIXe siècle. C’est après les années 1960 qu’il accèdera au premier rang des surfaces de production en Alsace.
Le terroir
Gardant à l'esprit qu'il faut des vins pour toutes les occasions, notre œnologue a choisi de vinifier la gamme "Réserve" sur le fruit. Il recherche la meilleure expression de chacun des cépages alsaciens à travers des vins frais et gourmands.
LE VIN
La Maison Brotte met à l’honneur la Rusticité et la Franchise à travers ce Saint-Joseph aux couleurs mauve soutenu et aux contours framboise. Le nez nous offre des arômes intenses de fruits noirs et de poivre, soutenus par des notes torréfiées. Ses tanins racés laissent apparaître des notes de framboises et de cassis avec une finale d’effluves épicés. Tannique dans sa jeunesse, il nécessitera entre 2 à 3 ans de garde pour exprimer pleinement son potentiel.
« Marandy » : Un hommage au nom et au caractère de la cuvée Saint Joseph historique de la Maison Brotte qui provenait d’un lieu-dit ainsi appelé (années 1970). Ce vin délicat et friand se vendait déjà au XVIème siècle. Autrefois, le Saint-Joseph, qui s’appelait « vin de Mauves », était fort apprécié des rois de France et de Victor Hugo qui en fait l’éloge dans Les Misérables.
Robe – Rubis foncée à reflets violacés.
Nez – Intense et complexe. Dans sa première jeunesse, le nez est frais sur les fruits noirs, le camphre, le menthol et la violette. Après deux à trois ans de garde, les fruits noirs confiturés et les épices sont dominants en premier nez puis il évolue sur le clou de girofle, des grains de café, la venaison et des notes fumées.
Bouche – Dans sa jeunesse, le vin est frais, structuré et relevé par des notes typiques de la syrah : la mûre et le bourgeon de cassis. Après un peu de garde, la bouche prend de l’ampleur avec une finale bien plus longue.
DEGUSTATION
Avec un agneau grillé, de la rosette de Lyon ou un pigeon à la truffe, le mariage sera excellent. Après un peu de garde, il se mêle alors parfaitement à une caillette avignonnaise, une terrine de chevreuil ou de lièvre, des magrets de canard séchés, des ravioles aux cèpes et foie gras, une daube comtadine (aux épices), un navarin d’agneau ou une rigotte du Forez.